L'oeuvre Le méchant de Jean-Baptiste Louis GRESSET

Ecrit par Jean-Baptiste Louis GRESSET

Date : ????

Citations de "Le méchant"

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AIGLEL'aigle d'une maison n'est qu'un sot dans une autre
AIGREURDans toute la maison Il règne un air d'aigreur et de division
ARRANGERAu reste, arrange-toi, fais tes réflexions : Je t'ai dit ma pensée et mes conditions
AUTREVous autres, fortes têtes, Vous voilà ! vous prenez tous les gens pour des bêtes
CAQUET.... Vous voulez que je trouve parfait Un petit suffisant qui n'a que du caquet
CLANDESTIN, INEUn rapport clandestin n'est pas d'un honnête homme ; Quand j'accuse quelqu'un, je le dois et me nomme
CLINQUANTSi l'on vous faisait voir que ce bon air, ces grâces, Ce clinquant de l'esprit, ces trompeuses surfaces Cachent un homme affreux....
COLIFICHETIl n'a d'autre défaut qu'un peu d'étourderie ; Et, grâce à vous, Géronte en va voir le portrait Comme d'un libertin et d'un colifichet
COMIQUEOh ! tu prends au tragique Un débat qui pour moi ne sera que comique
CONTREFAIREPar malheur je n'ai point l'art de me contrefaire
COPISTEIl a, dit-on, choisi Cléon pour son modèle ; Il est son complaisant, son copiste fidèle
CORBLEUM'interdire ! corbleu ! voilà donc de vos oeuvres !
COUVRIRL'agrément couvre tout, il rend tout légitime ; Aujourd'hui dans le monde on ne connaît qu'un crime, C'est l'ennui....
DÉCISIONCette présomption Qui prétend tout ranger à sa décision
DÉCRIÉ, ÉEDes hommes décriés, sans talent, sans honneur
DÉFÉRERAutant il faut de soins, d'égards et de prudence Pour ne point accuser l'honneur et l'innocence, Autant il faut d'ardeur, d'inflexibilité Pour déférer un traître à la société
DÉMASQUÉ, ÉEVous êtes démasqué, vous n'êtes plus à craindre
DÉMONTERNe vous voilàt-il pas ? j'aime tous vos amis.... Et moi je n'en ai qu'un que j'aime pour mon compte ; Et vous le détestez : oh ! cela me démonte
DÉNIGREMENTCe jargon éternel de la froide ironie, L'air de dénigrement, l'aigreur, la jalousie, Ce ton mystérieux, ces petits mots sans fin
DIFFÉRENDVous n'êtes pas brouillés ; amis de tous les temps, Vous êtes au-dessus de tous les différends
DISSIPATIONLa dissipation, l'ivresse de son âge, Une ville où tout plaît, un monde où tout engage
DIVERSITÉChaque jour le génie et la diversité Viennent nous enrichir de quelque nouveauté
DIVISER.... Diviser les esprits, Aigrir des gens brouillés ou brouiller des amis
ÉGORGERFuir Paris, ce serait m'égorger de ma main
ENFERMERMon procureur fera cette expédition ; C'est un homme admirable et qui par son adresse Aurait fait enfermer les sept Sages de Grèce, S'il eût plaidé contre eux....
ENNUYEUX, EUSEQui, pour vivre à Paris avec l'air d'être heureux, Au fond n'y sont pas moins ennuyés qu'ennuyeux
ENTERRÉ, ÉECar quoique loin de tout, enterré dans ces lieux, Je suis toujours sensible aux biens de ma patrie
ÉPAIS, AISSEEt la grosse gaieté de l'épaisse opulence
ÉPROUVERTranquillisez mon coeur, vous l'éprouvez sans doute
ESPRITL'esprit qu'on veut avoir gâte celui qu'on a
ÉTALAGEQuel luxe ! quel étalage ! Le voilà bien paré ! ma foi, c'est grand dommage Que vous ayez ici perdu votre étalage !
ÉTOFFEUne femme qui fuit le monde en enrageant, Parce qu'on n'en veut plus, et se croit philosophe, Qui veut être méchante et n'en a pas l'étoffe
ÉTOURDERIEIl n'a d'autre défaut qu'un peu d'étourderie
ÉTOURDI, IEJe n'approuverais pas ce début étourdi, Si vous aviez affaire à quelqu'un d'estimable
ÊTRESoit dit confidemment, je crois qu'il est jaloux De tous les sentiments qui m'attachent à vous
ÉVITERPour Valère et Cléon, quoique je sois bien sûre Qu'ils se connaissent fort, ils s'évitent tous deux
EXCÉDANT, ANTEOu j'aurais une prude au ton triste, excédant, Une bégueule enfin qui serait mon pédant
EXCÉDERJe ne sais ce que j'ai, tout m'excède aujourd'hui
EXPÉDIÉ, ÉEDans l'esprit de Florise il est expédié
EXPLICATIONMe donnerez-vous l'explication d'une telle conduite ? Une explication ! en faut-il quand on s'aime ?
FAITJe voudrais mettre au fait celui qui me suivra, Lui laisser mes projets
FATUITÉ....N'en voit-on pas sans cesse Qui jusqu'à quarante ans gardent l'air éventé Et sont les vétérans de la fatuité ?
FAUX, FAUSSEQue les hommes sont faux, et qu'ils savent, hélas ! Trop bien persuader ce qu'ils ne sentent pas !
FONDSAvec son ton, son air et sa frivolité, Il n'est pas mal en fonds pour être détesté
FOU ou FOL, FOLLEJe suis fou de Lisette et j'en ai pour la vie
FRELUQUETM'embarrassant fort peu des intrigues frivoles D'un tas de freluquets, d'une troupe de folles
GARDEOn est en garde, on doute enfin si l'on rira
GENSVous autres fortes têtes, Vous voilà, vous prenez tous les gens pour des bêtes
GRÂCETant de prétentions, tant de petites grâces Que je mets, vu leur date, au nombre des grimaces
HAUT, AUTEUne société peu nombreuse, et qui s'aime, Où vous pensez tout haut, où vous êtes vous-même
HAUT, AUTEArrangez tout, je vais faire ma cour là-haut
HISTOIRECette chanson qui fit une si belle histoire
HONNÊTEMENTVous êtes comme un autre emporté, violent, Et vous vous fâchez même assez honnêtement
HONNEUR....La bête est si bonne, Soit dit sans vous fâcher. - Ah ! je vous l'abandonne, Faites-en les honneurs...
HORREURVous êtes aujourd'hui coiffée à faire horreur
HORREURY pensez-vous, monsieur ? quoi ! Florise et Géronte Vous comblent d'amitié, de plaisirs et d'honneurs, Et vous mandez sur eux quatre pages d'horreurs !
IMPERTINENCEA-t-on vu quelque part un fonds d'impertinence De cette force-là ?
INCROYABLELe goût fait chaque jour des progrès incroyables
INDUBITABLEMENTPar malheur, je n'ai point l'art de me contrefaire ; Il vient pour un sujet qui ne saurait me plaire, Et je le marquerais indubitablement
JEUn rapport clandestin n'est pas d'un honnête homme ; Quand j'accuse quelqu'un, je le dois et me nomme
LÉGÈREMENTEt que, pour vos projets, il fallait sans scrupule Traiter légèrement un vieillard ridicule
LIREPour moi, j'aime les gens dont l'âme se peut lire
MAISONN'apporte point ici l'air de cérémonie ; Regarde-toi déjà comme de la maison
MAL, ALE.... Mais le peu que j'y vois Me paraît mal à vous, et dangereux pour moi
MAL, ALEDites, pour l'achever, du mal de la maison
MAL, ALE[Il] Parle bien de lui-même et mal de tout le monde
MAUSSADERIEMais c'est un air si gauche, une maussaderie. - Tout comme il vous plaira ; finissons, je vous prie
MÉCHANT, ANTEMais à l'esprit méchant je ne vois point de gloire ; Si vous saviez combien cet esprit est aisé ! Combien il en faut peu, comme il est méprisé !
MÉCHANT, ANTEMalgré tous les succès de l'esprit des méchants, Je sens qu'on en revient toujours aux bonnes gens
MENERAu fond, elle vous mène, en vous semblant soumise
MENU, UELes sots sont ici-bas pour nos menus plaisirs
MINOISC'est un de ces minois que l'on a vus partout Et dont on ne dit rien....
MON ou MA ou MESJe renverrai mon fat, et mon affaire est faite
MONTRERLucile en est outrée et ne se montre plus
MOTOn nous a pour la vie Chassés de vingt maisons. - Chassés ! quelle folie ! - Oh ! c'est un mot pour l'autre, et puisqu'il faut choisir, Point chassés, mais priés de ne plus revenir
MOTJ'ai rencontré souvent de ces gens à bons mots, De ces hommes charmants qui n'étaient que des sots
MOTDes mots, de bons mots, des traits d'esprit Est-ce bien là l'emploi qu'un bon esprit doit prendre ? L'orateur des foyers et des mauvais propos ? Quels titres sont les siens ? l'insolence et des mots
NÉANTQuant à l'esprit, néant ; il n'a pas pris la peine Jusqu'ici de paraître, et je doute qu'il vienne
NONPour moi, j'aime les gens dont l'âme se peut lire, Qui disent bonnement oui pour oui, non pour non
NOYERPour couronner l'affaire, Achevons de brouiller et de noyer Valère
NULLITÉJ'ai vu d'autres méchants d'un grave caractère, Gens laconiques, froids, à qui rien ne peut plaire ; Examinez-les bien : un ton sentencieux Cache leur nullité sous un air dédaigneux
ODIEUX, EUSELa mère de Valère est maussade, ennuyeuse, Sans usage du monde, une femme odieuse
OISONQue voulez-vous qu'on dise à de pareils oisons ?
ONOn entre dans le monde, on en est enivré, Au plus frivole accueil on se croit adoré
ONMais, s'il vous plaît, Ne ferions-nous pas bien d'aller voir où l'on est ?
OUIPour moi, j'aime les gens dont l'âme se peut lire, Qui disent bonnement oui pour oui, non pour non
OUTRER....Mais on outre les choses, C'est donner à des riens les plus horribles causes
PARPar l'erreur d'un moment ne jugez point ma vie
PARENTÉLa parenté m'excède, et ces liens, ces chaînes De gens dont on partage ou les torts ou les peines....
PARLERVoilà mon dernier mot. - Voilà parler cela !
PARODIETout est [à Paris] colifichet, pompon et parodie : Le monde, comme il est, me plaît à la folie
PASSERQue veux-tu que je fasse ? Géronte n'entend rien ; ce que je vois me passe
PÂTUREEt laisse aux gens oisifs tous ces menus propos, Ces puérilités, la pâture des sots
PENSERFranchement, des plaisirs, des biens de cette sorte Ne sont pas, quand on pense, une chaîne bien forte
PERSIFLAGEDe la joie et du coeur on perd l'heureux langage Pour l'absurde talent d'un triste persiflage
PERSONNEQuant aux amis, crois-moi, ce vain nom qu'on se donne Se prend chez tout le monde et n'est vrai chez personne
PETIT, ITECessez de me parler pour ce petit Valère ; Il ne sait ce qu'il veut, mais il sait me déplaire
PIEDDes ouvrages vantés qui n'ont ni pieds ni tête
PLACEFinissons là, de grâce : Allez-vous m'en parler ? je vous cède la place
PLACERJe pourrais, par Chloé, te placer chez Valère
PLAISANTERQu'il m'en plaisante ou non, ma tendresse l'emporte
PLAT, ATE....Notre Ariste m'assomme : C'est, je vous l'avouerai, le plus plat honnête homme
POUVOIRJe ne m'ennuierai point pour ma chère moitié ; Aimera qui pourra
PRATIQUEJe ne jurerais pas qu'en attendant pratique, Il ne divisât tout dans votre domestique : Madame me paraît déjà d'un autre avis
PRENDREPrenez qu'on m'a surpris et que je n'ai rien dit
PRENDREEh ! dis-moi, je te prie, Te prennent-ils souvent ces accès de folie ?
PRENDRECe petit étourdi s'est pris de goût pour moi, Et me croit son ami, je ne sais pas pourquoi
PRÊTERSon trouble lui prêtait de nouveaux agréments
PRIMAUTÉVous cessez de m'aimer, vous me croyez quitté ; Mais j'ai depuis longtemps gagné la primauté
PROPOSTous ces gens redoutés, Fameux par les propos et par les faussetés, Vus de près ne sont rien
PROPRIÉTÉPossédé du démon de la propriété
PROTECTEUR, TRICEDes protégés si bas ! des protecteurs si bêtes !
PROVINCEElle avait de beaux yeux pour des yeux de province
PUBLIQUEMENTOn [hommes et femmes] se prend, on se quitte assez publiquement
PULVÉRISEREt son autorité, malgré les protecteurs, Pulvérise l'ouvrage et les admirateurs
QUITTE[Dans le monde] On reçoit et l'on rend, on est à peu près quitte
QUITTERLise a quitté le rouge, et l'on se dit tout bas Qu'elle ferait bien mieux de quitter Licidas
RABATTREOh ! quand on est fripon, je rabats de l'estime
RAPPORTLes rapports font toujours plus de mal que de bien
RECEVOIROn reçoit donc ici quelquefois des nouvelles ; Les dernières, monsieur, les sait-on ?
RECONNAÎTREOui, je te le répète, oui, c'est lui que j'ai vu ; Mieux encor que mes yeux mon coeur l'a reconnu
RECRUEC'est un de ces enfants dont la folle recrue Dans la société vient tomber tous les ans, Et lasse tout le monde, excepté leurs parents
REDEVENIRSi vous redeveniez amoureux de Florise
REMARQUERAh ! monsieur l'honnête homme, enfin je vous connais : Remarquez ma maison pour n'y rentrer jamais
RENDREJe dis ce qui me vient, et l'on peut me le rendre
RENVOYÉ, ÉEJe dirai que de lui [un valet] je m'étais défié, Que c'était un coquin, et qu'il est renvoyé
RENVOYERCléon : Il [un domestique] est parti, je l'ai renvoyé ce matin. - Valère : Vous l'avez renvoyé : moi, je l'ai pris ; qu'il vienne
RÉPÉTÉ, ÉECourant après l'esprit ou plutôt se parant De l'esprit répété qu'elle attrape en courant
RÉPÉTERAu bonhomme d'oncle il répète sans cesse, Que c'est le seul parti qui convienne à sa nièce
RÉPÉTERAllez savoir, Lisette, Si l'on peut voir Cléon.... faut-il que je répète ?
RÉPÉTERDes biens à répéter, des partages à faire
RÉPUTATIONTant de petits talents où je n'ai pas de foi ; Des réputations on ne sait pas pourquoi
REVENU, UEMa soeur sur son chapitre est, dit-on, revenue
RIDICULE....Que je me donne un pareil ridicule ! Rompre avec un ami !
RIREAu ton dont il s'explique, à son air où l'on voit, dans un rire ironique, L'estime de lui-même et le mépris d'autrui
ROUGELise a quitté le rouge, et l'on se dit tout bas Qu'elle ferait bien mieux de quitter Lycidas
ROUILLERIrais-je, accompagné d'une femme importune, Me rouiller dans ma terre et borner ma fortune ?
SAISISSEMENTLe doux saisissement d'une joie imprévue, Tous les plaisirs du coeur m'ont remplie à sa vue
SAUTERJ'y ferai des portraits qui sauteront aux yeux
SAVOIRTout se sait tôt ou tard, et la vérité perce
SENSDe l'esprit, si l'on veut, mais pas le sens commun
SENTENCIEUX, EUSE....Un ton sentencieux Cache leur nullité sous un air dédaigneux
SERVITEURPoint du tout, on vous chasse et votre serviteur
SIMPLEIl faut, pour m'attacher, une âme simple et pure, Comme Chloé, qui sort des mains de la nature
SORTIRIl faut pour m'attacher une âme simple et pure, Comme Chloé qui sort des mains de la nature
SOUPERFaire des soupers fins où l'on périt d'ennui
SUFFISANT, ANTEVous voulez que je trouve parfait Un petit suffisant qui n'a que du caquet ?
SUIVREJe vous ai bien suivi, je vous trouve bon homme
SURCROÎTVous aurez pour surcroît un frère qui radote
SURFACELe clinquant de l'esprit, ces trompeuses surfaces Cachent un homme affreux qui veut vous égarer, Et que l'on ne peut voir sans se déshonorer
SUSPENDREL'homme éclairé suspend l'éloge et la censure
TEMPSSelon l'amant du jour et la couleur du temps
TENIRComment peut-on savoir ce qu'on tient avec lui ? Jamais ce qu'il vous dit n'est ce qu'il veut vous dire
TENUEAutre esprit inégal, sans aucune tenue
TÊTENous avons, je le vois, la tête un peu légère
TÊTEVous autres, fortes têtes, Vous voilà ; vous prenez tous les gens pour des bêtes
TIERS, ERCESouvent un tiers se brouille avec les deux partis
TOISERAussi connais-je bien mon monde ; et je défie, Quant j'ai toisé mes gens, qu'on m'en impose en rien
TOMBERMa foi, laissez tomber tout cela de soi-même
TOURNERN'importe, si mes soins tournent heureusement
TOURNERMonsieur, vous seul pouvez rétablir cette affaire : Elle tourne au plus mal
TOUT, TOUTEToute femme m'amuse, aucune ne m'attache
TRACASSERIETout languit, tout est mort sans la tracasserie ; C'est le ressort du monde et l'âme de la vie
TRAITOn applaudit aux traits du méchant qu'on abhorre
TRAITERLisette : Ma maîtresse autrefois me traitait à merveille, Et ne peut me souffrir depuis qu'il la conseille
UNIVERSOn peut faire une chanson sur elle ; Cela vaut mieux qu'un livre, et court tout l'univers
USAGELa mère de Valère est maussade, ennuyeuse, Sans usage du monde, une femme odieuse
VALOIRMa foi, quand je parcours tout ce qui le compose [le monde], Je ne trouve que nous qui valions quelque chose
VÉGÉTEROn ne vit qu'à Paris et l'on végète ailleurs
VENIRJe dis ce qui me vient, et l'on peut me le rendre
VÉTÉRANN'en voit-on pas sans cesse Qui jusqu'à quarante ans gardent l'air éventé, Et sont les vétérans de la fatuité ?
VIEILLESSEJe trouve tout ceci d'une vieillesse affreuse
VOIRQu'avez-vous à voir dans ma maison ? Dans ces misères-là je n'ai plus rien à voir, Et je sais là-dessus tout ce qu'on peut savoir
VOULOIRToujours la calomnie en veut aux gens d'esprit
VRAISEMBLANCEÉcoutez ; conservons toutes les vraisemblances ; On ne se doit lâcher par des impertinences Que selon le besoin, selon l'esprit des gens

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