L'oeuvre Brutus de François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE

Ecrit par François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE

Date : 1730

Citations de "Brutus"

Pages 1

Utilisé pour le motCitation
ABAISSEMENTVous avez vu ma honte et mon abaissement
ABAISSERAujourd'hui devant vous abaissant sa hauteur
ABAISSERPensez-vous abaisser les rois dans leurs ministres ?
ABONDANCEAu sein de l'abondance
ABSOLU, UEAvais-tu résolu d'opprimer ta patrie, D'abandonner ton père au pouvoir absolu ?
ABUSNous préservent les cieux d'un si funeste abus, Berceau de la mollesse et tombeau des vertus
ABUSERVous ne voudrez jamais, abusant de mon âge...
ACCABLANT, ANTEMais qu'il est accablant de parler de sa honte !
ACCABLERL'ambition, l'amour, le dépit, tout m'accable
ACCEPTERAcceptez aujourd'hui Rome pour votre mère, Son vengeur pour époux, Brutus pour votre père
ADORATEUR, TRICEEt de leur chaîne antique adorateurs heureux
AIGRIRConnaissez donc Titus, voyez toute son âme, Le courroux qui l'aigrit, le poison qui l'enflamme ; Il brûle pour Tullie....
AIGRIRAllons, suivons ses pas, aigrissons ses ennuis
APPASSeigneur, ainsi qu'à vous la liberté m'est chère ; Quoique né sous un roi, j'en goûte les appas
ÂPRELeur âpre austérité que rien ne peut gagner, N'est dans ces coeurs hautains que la soif de régner
ARCLe peuple rassemblé sous ces arcs triomphaux....
ARROGANCED'un peuple trop heureux l'indocile arrogance
ATTACHERLe sort dont la rigueur à m'accabler s'attache
ATTESTERVoici ce Capitole et ces mêmes autels Où jadis attestant tous les dieux immortels....
AUTORISERFaudra-t-il donc toujours que Titus autorise Ce sénat de tyrans dont l'orgueil nous maîtrise ?
AVEUGLÉMENTIl aime aveuglément sa patrie et son père
BEAU ou BEL, BELLEHélas j'ai cru ce jour le plus beau de ma vie
BLANCHIRCes pères des Romains, vengeurs de l'équité, Ont blanchi dans la pourpre et dans la pauvreté
CIELNous préservent les cieux d'un si funeste abus !
COMMEEt par la fermeté dont ce coeur est armé, Titus, tu connaîtras comme il t'aurait aimé
CONFIEROn confie aisément les malheurs qu'on surmonte
CONNAÎTREMon bras.... Ingrat, va me punir de t'avoir mal connu
CONSOLERVous connaissez Brutus et l'osez consoler !
CONSOMMER... Sa main consommant ces tristes sacrifices, Elle tombe, elle expire....
CONSPIRERSeigneur, ou je me trompe ou Messala conspire, Pour changer ses destins plus que ceux de l'empire
CONSTERNÉ, ÉED'où vient ce morne accueil et ce front consterné ?
CONSULATNon, non, le consulat n'est point fait pour son âge
COUVERT, ERTEAimé du souverain, de ses rayons couvert, Vous ne servez qu'un maître, et le reste vous sert
CRAYONCrayon noir, blanc Si au milieu des tableaux de Rubens ou de Paul Veronèse, quelqu'un venait placer ses dessins au crayon, n'aurait-il pas tort de s'égaler à ces maîtres ?
DÉBATVainqueurs de nos débats, nous marchons réunis
DÉBILEDans mon âge débile Les dieux ne m'ont donné qu'un courage inutile
DÉCLARERDéclarant les complices
DEGRÉJ'ai tenté par degré d'effacer cette horreur
DÉLIBÉRERL'ambassadeur m'attend ; consulte, délibère ; Dans une heure avec moi tu reverras mon père
DÈSSeigneur, vous serez roi dès que vous voudrez l'être
DÉSESPÉRÉ, ÉEÔ de ma passion fureur désespérée !
DÉSESPÉRERAinsi de le fléchir Messala désespère
DÉSUNIRArdents à désunir le peuple et le sénat
DEVANTTous les coeurs des Romains.... Dans ces solemnités volent devant Titus
DEVOIRDevrai-je au dépit qui le presse Ce que j'aurais voulu devoir à sa tendresse ?
DEVOIRTremblez en contemplant tout le devoir des rois
DÉVORERComment avez-vous pu dévorer si longtemps Une douleur plus tendre et des maux plus touchants ?
DEXTÉRITÉIl vient rempli d'orgueil ou de dextérité
DISPOSERLe dépit, la vengeance et la honte et l'amour, De mes sens soulevés disposent tour à tour
ÉBLOUIRJe l'ai vu s'éblouir, je l'ai vu s'ébranler
ÉBRANLEREt si de vos flatteurs la funeste malice Jamais dans votre coeur ébranlait la justice
ÉCHAPPERCe feu que j'avais su contraindre S'irrite en s'échappant et ne peut plus s'éteindre
ÉCLAIRERJ'espère que bientôt ces voûtes embrasées Du sénat et du peuple éclairant le tombeau....
ÉCOUTERMais n'écoutai-je point un espoir trop flatteur ?
ÉDIFICEC'est vous qui par mes mains fondiez sur la justice De notre liberté l'éternel édifice
EFFAROUCHERTrop d'éclat l'effarouche ; il voit d'un oeil sévère Dans le bien qu'on lui fait le mal qu'on peut lui faire
ÉGAL, ALEAccoutumons des rois la fierté despotique à traiter en égale avec la république
ÉGALERMes remords infinis Ont égalé mon crime et vengé mon pays
ÉLOIGNERVoici l'instant qui va nous éloigner
EMBELLIRSeigneur, embellissez ce grand nom de vainqueur Du nom plus glorieux de pacificateur
EMBRASSERJe chéris la vertu, mais j'embrasse le crime
EMPORTERHélas ! que je m'emporte en regrets superflus !
ENCENSERAllez donc et jamais n'encensez ses erreurs
ENCHANTEUR, ERESSEIl en eût trop suivi [du pouvoir] l'amorce enchanteresse
ENCOURAGEREncourager les bons, étonner les timides
ÉNERVERLa cour et l'esclavage Amollissaient leurs coeurs, énervaient leur courage
ENFANTRome avait des enfants Qui conspiraient contre elle et servaient les tyrans
ENFLAMMERLe courroux qui l'aigrit, le poison qui l'enflamme
ENFONCEREnfonçons dans son coeur le trait qui le déchire
ENFUIR (S')Pour toute récompense il n'obtient qu'un vain bruit, Qu'un triomphe frivole, un éclat qui s'enfuit
ENGAGEMENTAh ! c'est trop essuyer tes indignes murmures, Tes vains engagements, tes plaintes, tes injures
ENGAGERDans le parti des rois pensez-vous qu'il s'engage ?
ENHARDIRAllons parler au peuple, enhardir les timides
ENIVRÉ, ÉELeurs esprits égarés [des Romains] De ce grand changement [l'établissement de la république] sont encore enivrés
ENIVRERElle n'a point trouvé la pompe et la mollesse Dont la cour des Tarquins enivra sa jeunesse
ENIVRERIl s'enivre à vos yeux de l'encens des humains
ENTENDREMais le nom de Tarquin vient de se faire entendre
ENTREEst-il donc, entre nous, rien de plus despotique ?
ENVIEVa, mort ou triomphant, tu feras mon envie
ÉPIERArons vient voir ici Rome encor chancelante, Découvrir les ressorts de sa grandeur naissante, Épier son génie, observer son pouvoir
ÉPRIS, ISESans craindre ces vertus qu'ils admirent en vous, Dont j'ai vu Rome éprise et le sénat jaloux
ÉPROUVÉ, ÉEDes mortels éprouvés dont la tête et le bras Sont faits pour ébranler ou changer les États
ESPÉRERLève-toi, cher appui qu'espérait ma vieillesse
ESPRITComprends l'esprit de Rome et connais le sénat
ESSUYERAh ! c'est trop essuyer tes indignes murmures
ÉTATChaque État a ses lois Qu'il tient de la nature, ou qu'il change à son choix
ÉTOUFFERÉtouffez dans son coeur un orgueil insensé
ÊTREC'est à vous à juger de son crime
ÉTROIT, OITESans l'étroite amitié dont l'honore Titus
EXCUSEMon coeur n'a pour excuse aucune illusion
FAIREDe deux fils que j'aimai les dieux m'avaient fait père
FAIT, AITENon, non le consulat n'est point fait pour son âge
FAÎTEQuel espoir enchanteur M'élève en un moment au faîte du bonheur ?
FANATIQUEIls ne se piquent pas du devoir fanatique De servir de victime au pouvoir despotique
FERSous un sceptre de fer tout ce peuple abattu
FERMERTes triomphantes mains vont fermer ma paupière
FEULe feu de son jeune âge et de ses passions
FLAMMENon, plutôt que je livre aux flammes, au carnage, Ces murs, ces citoyens qu'a sauvés mon courage
FLATTERIEQuittez l'art avec nous, quittez la flatterie, Ce poison qu'on prépare à la cour d'Étrurie
FORT, ORTEFort contre vos raisons, faible contre ses pleurs
FORTEMENTLes sentiments vigoureux de l'âme passent dans le langage ; et qui pense fortement parle de même
FOUGUEUX, EUSE.... Seigneur, j'ai des amis Qui sous ce joug nouveau sont à regret soumis ; Qui, dédaignant l'erreur des peuples imbéciles, Dans ce torrent fougueux restent seuls immobiles
FOULERLeur orgueil foule aux pieds l'orgueil du diadème
FRANCHISEPerdez moins d'artifice à tromper ma franchise
FRONTAvec plaisir, sans doute, il verrait à ses pieds Des sénateurs tremblants les fronts humiliés
FURIEAh ! j'aime avec transport, je hais avec furie
GAGNERLeur âpre austérité que rien ne peut gagner
GARDEAllez, et que du trône où le ciel vous appelle L'inflexible équité soit la garde éternelle
GÉMIRIl craint de lui parler, il gémit de se taire
GOUVERNEREh bien ! guidez mes pas, gouvernez ma furie
GRAND, ANDEEt prenant désormais des sentiments plus grands
HASARDERGardez de hasarder cette attaque soudaine
HAUTAIN, AINEMoins piqué d'un discours si hautain Que touché des malheurs où cet État s'expose
HOMMENon, crois-moi, l'homme est libre au moment qu'il veut l'être
HOMMEEt l'esclave d'un roi va voir enfin des hommes
HONORABLE[Un ambassadeur] Ce n'est qu'un ennemi sous un titre honorable
IGNORERPlein d'un mortel poison dont l'horreur me dévore, Je m'ignorais moi-même et je me cherche encore
IMAGINERNon, plus j'y pense encore, et moins je m'imagine Que mon fils des Romains ait tramé la ruine
IMMORTEL, ELLERome n'a point pour eux une haine immortelle
IMPIEDe ce complot impie Le ciel va découvrir toutes les profondeurs
IMPLORERUn esclave, seigneur, D'un entretien secret implore la faveur
IMPOSERIls ont brisé le joug pour l'imposer eux-mêmes
IMPOSEREt le seul châtiment qu'ici nous t'imposons
IMPOSERIls demandent un chef digne de leur courage, Dont le nom seul impose à ce peuple volage
IMPUNITÉTu n'es qu'un conjuré paré d'un nom sublime, Que l'impunité seule enhardissait au crime
INÉBRANLABLETu verras qu'une femme, à tes yeux méprisable, Dans ses projets au moins était inébranlable
INFINI, IEMes remords infinis Ont égalé mon crime et vengé mon pays
INSTRUIT, UITEInstruit par le malheur, ce grand maître de l'homme
INSTRUMENTJe connais trop les grands.... Nous sommes de leur gloire un instrument servile
INSULTANT, ANTEVa, je verrai peut-être à mes pieds abattu Cet orgueil insultant de ta fausse vertu
INTRAITABLEIl n'est point de tyran plus dur, plus haïssable Que la sévérité de ton coeur intraitable
INTRIGUEPar quels ressorts secrets ? par quelle heureuse intrigue ?
INVIOLABLE[Il] M'attend pour commencer les serments redoutables, De notre liberté garants inviolables
JETERJe ne veux point lever un oeil présomptueux Vers le voile sacré que vous jetez sur eux [des secrets]
JEUNELe feu de son jeune âge et de ses passions.... Semblaient ouvrir son âme à mes séductions
JEUNESSELa bouillante jeunesse est facile à séduire
JUSQUE et JUSQUESJusques à quand, Romains, Voulez-vous profaner tous les droits des humains ?
JUSTEMENTCet odieux Romain que votre coeur abhorre, Si justement haï, si coupable envers vous
LAISSERLaissez-moi ma vertu, laissez-moi mes malheurs
LANGUIRLa Grèce entière est libre, et la molle Ionie Sous un joug odieux languit assujettie
LE, LA, LESUn fils ne s'arme point contre un coupable père : Il détourne les yeux, le plaint et le révère
LEÇONEt que ce grand exemple, où mon espoir se fonde, Soit la leçon des rois et le bonheur du monde
LEVERJe ne veux point lever un oeil présomptueux Vers le voile sacré que vous jetez sur eux [des secrets]
LIBERTÉCrois-moi, la liberté, que tout mortel adore, Donne à l'homme un courage, inspire une grandeur Qu'il n'eût jamais trouvés dans le fond de son coeur
LIBRENon, crois-moi, l'homme est libre au moment qu'il veut l'être
LION, ONNECes lions que leur maître avait rendus plus doux
LIVRERL'assaut sera-t-il prêt, si par nos conjurés Les remparts cette nuit ne nous sont point livrés ?
LOINElle va, loin de vous et loin de sa patrie, Accepter pour époux le roi de Ligurie
LOINLoin de vous accabler, avec vous je soupire
LUITrop d'éclat l'effarouche ; il voit d'un oeil sévère Dans le bien qu'on lui fait le mal qu'on lui peut faire
MAISHeureux, mais gouvernés, libres, mais sous des maîtres
MAÎTREInstruit par le malheur, ce grand maître de l'homme
MAÎTRISERCe sénat de tyrans dont l'orgueil nous maîtrise
MEURTRIER, IÈREAdieu ; résous D'être mon meurtrier ou d'être mon époux
MINISTREPensez-vous abaisser les rois dans leurs ministres ?
MOIMessala, songez-vous que vous parlez à moi ?
MOLLESSEElle n'a point trouvé la pompe et la mollesse Dont la cour des Tarquins enivra sa jeunesse
MOU, MOLLELa Grèce entière est libre, et la molle Ionie Sous un joug odieux languit assujettie
MOURIRMais, soutenu du tien, mon nom ne mourra plus
NAÎTRELe bien public est né de l'excès de ses crimes
NOMMais sous un autre nom n'est-il pas roi lui-même ?
OBÉIRPour qu'on vous obéisse, obéissez aux lois
OBJETLève-toi, triste objet d'horreur et de tendresse
OPPROBRERéponds donc à ton juge, opprobre de ma vie
ORGUEILLeur orgueil foule aux pieds l'orgueil du diadème
OUVERT, ERTECe coeur est tout ouvert et n'a rien qu'il déguise
OUVRIRÀ cet infortuné daignez ouvrir les bras ; Dites du moins : mon fils, Brutus ne te hait pas
PARDONNEREt qui pardonne au crime en devient le complice
PARÉ, ÉETu n'es qu'un conjuré paré d'un nom sublime [du nom d'ambassadeur]
PARRICIDELes citoyens perfides Qui liaient avec toi leurs complots parricides
PARTISANJe soupçonne et Ménas et Lélie, Les partisans des rois et de la tyrannie
PASSERJe vois tout le sénat passer à votre avis
PASSERJ'ai bientôt passé l'heure avec peine accordée
PATRON, ONNESous les noms séduisants de patrons et de pères Ils [les patriciens de Rome] affectent des rois les démarches altières
PÈRECes pères des Romains, vengeurs de l'équité, Ont blanchi dans la pourpre et dans la pauvreté
PLEIN, EINESon coeur altier et prompt est plein de cette injure
PLUSAimez ma république et soyez plus que reine
PLUSSois toujours un héros ; sois plus, sois citoyen
PLUTÔTDieu ! donnez-nous la mort plutôt que l'esclavage
POSTELa place où je t'envoie est ton poste d'honneur
POURPREQui naquit dans la pourpre en est rarement digne
POUVOIRTyrans que j'ai vaincus, je pourrais vous servir ! Peuples que j'ai sauvés, je pourrais vous trahir !
PREMIER, IÈREJe pourrais, il est vrai, mendier son appui, Et, son premier esclave, être tyran sous lui
PRODIGUERPour notre liberté va prodiguer ta vie
PRONONCERDu sénat la volonté suprême Est que sur votre fils vous prononciez vous-même
PROSEOn a tenté de nous donner des tragédies en prose ; mais je ne crois pas que cette entreprise puisse désormais réussir ; qui a le plus ne saurait se contenter du moins
QUITTERQuittez l'art avec nous ; quittez la flatterie
QUOIQUESeigneur, ainsi qu'à vous la liberté m'est chère : Quoique né sous un roi, j'en goûte les appas
RAFFERMIRVous pouvez raffermir, par un accord heureux, Des peuples et des rois les légitimes noeuds
RECHERCHÉ, ÉEIl n'y a ni sentiments recherchés, ni aventure romanesque dans le quatrième livre de Virgile ; il est tout naturel, et c'est l'effort de l'esprit humain
RÉCOMPENSÉ, ÉEC'est en servant l'État qu'il est récompensé
REDEMANDERTarquin.... N'a pas même aux Romains redemandé sa fille
REGORGERLe sang qui regorgea sous ses mains meurtrières [de Tarquin], De notre obéissance a rompu les barrières
REMIS, ISEUn roi, sur le trône remis
RENVOYERIl le faut à son roi renvoyer sans l'entendre [un ambassadeur]
RETARDERJe puis d'une heure encor retarder mon départ
RÉVOLTERDe ces républicains la triste austérité De son coeur généreux révolte la fierté
SAISI, IEEh bien ! Valérius, Ils sont saisis sans doute ? ils sont au moins connus ?
SÉDUISANT, ANTEJe crains les discours séduisants D'un ministre vieilli dans l'art des courtisans
SIMPLEArrêter un Romain sur de simples soupçons, C'est agir en tyrans, nous qui les punissons
SOULEVÉ, ÉELe dépit, la vengeance, et la honte et l'amour De mes sens soulevés disposent tour à tour
SOURCEJe n'ai point de mon sang déshonoré la source
SOUTENIRTitus, me disait-il, soutiendrait ma famille
SUBLIMETu n'es qu'un conjuré paré d'un nom sublime [ambassadeur]
SÛRETÉMa maison cependant est votre sûreté ; Jouissez-y des droits de l'hospitalité
SUSPENDU, UECes drapeaux suspendus à ces voûtes fatales
VENDREÀ ce perfide Arons il vendait sa patrie
VENTQue sa cendre coupable abandonnée aux vents....
VIEILLI, IEUn ministre vieilli dans l'art des courtisans
VIVREAu moment où je parle, ils ont vécu peut-être
VOICIVoici l'instant affreux qui va nous éloigner

Pages 1