L'oeuvre Le legs de Pierre de MARIVAUX

Ecrit par Pierre de MARIVAUX

Date : ????

Citations de "Le legs"

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DÉLIVREREh ! monsieur, délivrez-vous d'elle, et donnez-lui les deux cent mille francs
DESSERVIRLépine a cru que je le desservais auprès de vous
DROIT, DROITEQuel prétexte ! cette femme ne va pas droit avec moi
ÉPOUSEROn s'épouse de tout temps, on s'épousera toujours ; on n'a que cette honnête ressource quand on aime
ÉTAGEJe me brisai hier d'une chute sur l'escalier, je roulai tout un étage
ÉTRANGELa comtesse : Ne perdez point cela de vue, étrange homme que vous êtes
FIGURERLépine : Cette dame se figurait que nous nous aimions. - Lisette : Eh bien, elle se figurait mal
FINIRLa comtesse : Finissez, monsieur, finissez ; ah ! l'odieuse contestation. - Hortense : Oui, finissons ; je vous épouserai, monsieur, il n'y a que cela à dire
FOURNIRJe suis souffrant, et je ne pourrais fournir la course
HAÏRMais à quoi jugez-vous que la comtesse ne le hait pas ?
HASARDEUX, EUSELe marquis, homme tout simple, peu hasardeux dans le discours, n'osera jamais aventurer la déclaration
HUMLa comtesse : Allez porter ma lettre. - Lisette à part : Hum ! il y a ici quelque chose
LOISIRNous ne gagnerions à nous marier que le loisir de nous quereller à notre aise, et ce n'est pas là une partie de plaisir bien touchante
MÊMELa comtesse : Regardez-moi dans cette occasion-ci comme une autre vous-même ! - Le marquis : Ah ! que c'est bien dit, une autre moi-même !
MONSNous n'avons rien à nous dire, mons de Lépine, j'ai affaire et je vous laisse
PASSERLa comtesse : Je vous suis obligée du petit compliment que vous me faites en passant. - Le marquis : Point du tout ; je ne passe jamais, moi, je dis toujours exprès
PETITEMENTLe marquis : êtes-vous un peu de nos amis ? - Lépine : Petitement
PRIMERLa comtesse est une femme brusque qui aime à primer, à gouverner, à être la maîtresse
PROFITEt vos profits, que deviendront-ils ?
PROPOSIl ne sera jamais à propos de lui dire je vous aime, à moins qu'on ne le lui dise à propos de rien
PUISQUEPourquoi m'en donneriez-vous la peine, puisque vous voilà ?
REVÊCHEC'est un ami que je veux conserver ; et vous avez quelquefois le ton dur et revêche, Lisette : il valait mieux le laisser dire
REVENANT, ANTEQuelquefois pourtant, nombre de gens ont estimé que j'étais un garçon assez revenant
RÊVEUR, EUSEEffectivement vous me paraissez rêveur, inquiet
ROULERCe garçon qui est tout froissé, qui a roulé un étage, je m'étonne qu'il ne soit pas au lit
SAUVERN'y aurait-il pas moyen de me sauver les deux cent mille francs ? je vous parle à coeur ouvert
SOUFFRIRIl a commencé par établir que je ne pouvais pas le souffrir
SYLLABELépine : Me donnez-vous votre dernier mot ? - Lisette : Je n'y changerai pas une syllabe
TENIRMoyennant l'embarras où je vais jeter le marquis, il faudra bien qu'il parle ; et je veux savoir à quoi m en tenir
TOMBERCette matière avec elle ne peut tomber que des nues
TOUT, TOUTEEt, tout amie des bienséances que je suis, je ne vous approuve pas
TRAVAILLERLa fièvre le travaillait quand nous partîmes, avec le médecin par-dessus
TRISTEEn rompant le triste mariage qu'il va conclure plus par désespoir que par intérêt
UNI, IEJ'aime les gens simples et unis ; mais en vérité celui-là l'est trop
VERTUQu'on me dise en vertu de quoi cet homme-là s'est mis dans la tête que je ne l'aime point

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