L'oeuvre Théodore et Héraclius de Pierre CORNEILLE

Ecrit par Pierre CORNEILLE

Date : 1646

Citations de "Théodore et Héraclius"

Pages 1

Utilisé pour le motCitation
ABOIAh ! je m'en souviendrai jusqu'aux derniers abois [la mort]
ACCORDCes coeurs en sa faveur tombent soudain d'accord
ACQUÉRIRN'acquérez point ma haine en perdant votre temps
ACQUÉRIRLe désespérer ce n'est pas l'acquérir
ADORERVous que de tout mon coeur j'ai toujours adorée
ADRESSEToi, va par quelque adresse amuser sa visite
ADULTÈREEt par où votre amour se peut-il couronner, Si pour moi votre hymen n'est qu'un lâche adultère ?
AVÉRERJ'en réponds sur ma tête et l'ai trop avéré
AVORTONDe ce feu turbulent l'éclat impétueux N'est qu'un faible avorton d'un coeur présomptueux
BÉNIN, IGNEUn astre plus bénin vient d'éclaircir tes jours
COEURS'il la sauve, peut-être on trouvera dans Rome Plus de coeur que de crime en l'ardeur d'un jeune homme
COULEURIl m'a rendu ma gloire et préservé mon front Des infâmes couleurs d'un si mortel affront
COUPJe crains d'en recevoir quelque coup d'oeil fatal, Et chasse un ennemi dont je me défends mal
COUPERCe n'est que la douleur qui lui coupe la voix
COUR[Il] Agit contre son rang pour mieux faire sa cour
COURIRPuisque déjà le bruit jusqu'à vous a couru
CRAINDREIl craint qu'un indiscret la vienne révéler
CRIMEJ'en saurai près de lui faire un crime d'État
DAMNABLEVa, dangereux ami, que l'enfer me suscite, Ton damnable artifice en vain me sollicite
DELe respect des autels, la présence des dieux
DÉCHIRERVous devez cette grâce à votre propre gloire ; En m'arrachant la mienne on la va déchirer
DÉFENDU, UE,Certes une ennemie à qui je dois l'honneur.... Devrait trouver une âme un peu moins défendue
DÉFÉRERQue d'un si grand coup mon esprit abattu Défère à ses malheurs plus qu'à votre vertu
DÉFIEREt je me défierais d'un trop prompt changement
DEGRÉEt pour haut qu'on ait mis des titres si sacrés, On y monte souvent par de moindres degrés
DÉGUISEMENTDis, mais en peu de mots, et sûr que les tourments M'auront bientôt vengé de tes déguisements
DEHORSJe vais disposer ma cohorte à garder cependant le dehors de la porte
DEMEUREOui, sans plus de demeure, Pour l'intérêt des dieux je consens qu'elle meure
DEMEURERS'il vous demeure encor quelque espoir pour Flavie
DEMI, IEElle, à cette prière, encor demi-tremblante
DÉPARTIRUn reste de scrupule Dont mon coeur soupçonneux ne peut se départir
DÉPOUILLERMa raison s'est troublée et mon faible a paru ; Mais j'ai dépouillé l'homme et Dieu m'a secouru
DERECHEFDerechef jugez mieux de la même vertu
DÉSHONORÉ, ÉEPuis-je vivre et vous voir morte ou déshonorée ?
DÉSOBÉISSANCEMa désobéissance est ce que vous vouliez
DESSEINMais elle-même vient ; hélas ! à quel dessein ?
DESSEINC'était donc à dessein qu'elle cachait ses yeux Comme rouges de honte en sortant de ces lieux
DEXTÉRITÉVa plus outre, et par zèle ou par dextérité Joins le vouloir des dieux à leur autorité
DIEUDieu tout juste et tout bon, qui lit dans nos pensées, N'impute point de crime aux actions forcées
DIEUQuelles grâces, bons dieux, ne lui dois-je point rendre !
DISPOSERJ'en ai l'ordre et je vais disposer ma cohorte à garder cependant les dehors de la porte
DISPUTERQuoi qu'en votre faveur Marcelle lui dispute, Il mande Théodore, et la veut promptement Faire conduire au lieu de son bannissement
DOUCEMENTC'est mourir doucement, mais enfin c'est mourir
DROITÀ quel droit voulez-vous vous emparer du mien [bien] ?
DURERMarcelle en ma faveur agit trop lentement, Et laisse trop durer cet ennuyeux moment
ÉCHANGEParce que pour échange on veut avoir mon coeur
ÉCOLETous les ingrats iront en foule à votre école, Puisqu'on y devient quitte en payant de parole
ÉCOUTÉ, ÉEN'importe, si ta flamme en est mieux écoutée
EFFORCER (S')L'une et l'autre de moi s'efforce à l'obtenir
EFFORTSoit que son or pour lui fît un si prompt effort
ÉGALITÉMon coeur, plus incapable encor de vanité, Ne ferait point de choix que dans l'égalité
ÉGARERElle rappelle en lui l'honneur qui s'égarait
EMPIREIl parle et j'obéis à son secret empire
ENCOREJe ne demande pas que vous cessiez encore Ou de haïr Flavie ou d'aimer Théodore
ENFANTERTout ce qu'elles pourront enfanter de tempêtes, Sans venir jusqu'à nous, crèvera sur leurs têtes
ENFLERCertes, si je m'enflais de ces vaines fumées Dont on voit à la cour tant d'âmes si charmées
ENNEMI, IEL'ennemi qui flatte est le plus dangereux
ENRICHIRApproche, heureux rival, heureux choix d'une ingrate ; C'est donc pour s'enrichir d'un si noble butin Qu'elle s'est obstinée à suivre son destin
ENTENDREJe ne sais pas, seigneur, ce qu'on vous fait entendre
ENTRÉEDonne entrée à Placide et souffre que....
ENTREPRENDRESur quelle confiance a-t-il tant entrepris ?
ENTREPRENDRESur son autorité c'est beaucoup entreprendre
ENVENIMÉ, ÉED'un oeil envenimé Marcelle vous regarde
ÉPÉE[Il] met l'épée à la main, tourne le reste en fuite
ÉPOUVANTERThéodore, parlez sans vous épouvanter
ESPRITMais la pudeur peut tout sur l'esprit d'une fille Dont la vertu répond à l'illustre famille
ESPRITLes esprits généreux jugent tout par eux-mêmes
ESSAYEREt quelque cruauté qu'elle veuille essayer, S'il ne faut que du sang, j'ai trop de quoi payer
ÉTERNITÉIl est une autre voie et plus sûre et plus prompte Que dans l'éternité j'aurais lieu de bénir
ÉTONNERVa la voir de ma part, et tâche à l'étonner ; Dis-lui qu'à tout le peuple on va l'abandonner
ÊTREC'est à moi de mourir, mais c'est à vous de vivre
FACILITÉNe te figure point d'impossibilité Où tu fais, si tu veux, trop de facilité
FAIBLEMa raison s'est troublée et mon faible a paru
FAIBLESSEDans mon sort ravalé je sais vivre en princesse ; Je fuis l'ambition, mais je hais la faiblesse
FAIREFaisons des protecteurs sans faire d'ennemis
FAUSSETÉC'est à des faussetés sans besoin recourir
FEUL'âme toute en feu, les yeux étincelants
FONDEt vous reconnaîtrez que dans le fond de l'âme Je prends comme je dois l'intérêt d'une femme
FORT, ORTEVous m'obligerez fort d'en prendre le souci
FORTEMENTL'amant si fortement s'unit à ce qu'il aime Qu'il en fait dans son coeur une part de lui-même
FOU ou FOL, FOLLEQuand de sa folle erreur vous l'auriez diverti
FRANCHEMENTLevez, levez le masque, et parlez franchement
FRANCHISEEt de lui témoigner avec quelle franchise à ses commandements vous me voyez soumise
FUITE[Il] Met l'épée à la main, tourne en fuite le reste
GAGNERJ'ai donc enfin gagné, Didyme, et tu le vois, L'arrêt est prononcé, c'est moi dont on fait choix
GARDEVous ne me direz plus qu'on vous l'a mise en garde
GÊNECes feintes ont pour moi des gênes trop cruelles
GOUFFREDans ce gouffre de maux c'est lui qui m'a plongée
GRÂCEOn vous donne, de grâce, une heure à vous résoudre
GROS, OSSESuivi d'un gros armé d'amis et de valets
HABITSous l'habit de Didyme elle-même est sortie
HASARDERHasardons ; je ne vois que ce conseil à prendre
HAUSSERMais à peine il revit, qu'elle, haussant la voix : Je n'ai pas résolu de mourir à ton choix, Dit-elle....
HAUT, AUTEElle en parle tout haut, elle s'en vante à nous
HOMMAGEAh ! qu'il dissiperait un dangereux orage, S'il voulait à nos dieux rendre le moindre hommage !
HOMMEMa raison s'est troublée et mon faible a paru ; Mais j'ai dépouillé l'homme, et Dieu m'a secouru
HONTEMais pour braver Marcelle et m'affranchir de honte, Il est une autre voie et plus sûre et plus prompte
HORREURMais par la sainte horreur que vous fait l'infamie
IDOLÂTRIERéduite à balancer son esprit agité Entre l'idolâtrie et l'impudicité
ILLUSIONL'heur que je t'apporte est sans illusion
IMPLACABLEIl interroge encor, mais en juge implacable
IMPOLLU, UEJe saurai conserver, d'une âme résolue, à l'époux sans macule une épouse impollue
IMPORTERÉpousez ou Didyme ou Cléante ou quelque autre, Ne m'importe pas qui, mon choix suivra le vôtre
IMPORTUNERAussi ne pensez pas que je vous importune De payer mon amour....
INCAPABLEMon coeur plus incapable encor de vanité
INDIGNITÉDe ces indignités vos juges sont capables
INÉBRANLABLEMon coeur inébranlable aux plus cruels tourments
INFAMIESoit que vous contraigniez pour vos dieux impuissants Mon corps à l'infamie ou ma main à l'encens
INFAMIECette haute infamie où je veux la plonger Est moins pour la punir que pour la voir changer
INQUIÉTEREt qui n'a pas pour feindre assez de liberté Tant que pour son objet il est inquiété
INSENSIBLEMENTCe grand coup doit tomber plus insensiblement
INSOLENT, ENTEOui, mais il n'était plus en sortant ce Didyme Dont l'orgueil insolent demandait sa victime
JOURL'oeil d'un amant jaloux a bien d'autres clartés.... Son amour lui fait jour jusques au fond d'une âme
JUGELa Syrie à vos lois est-elle assujettie Pour souffrir qu'une femme y soit juge et partie ?
JUGERLa Syrie à vos lois est-elle assujettie Pour souffrir qu'une femme [Théodore] y soit juge et partie ? Jugez de Théodore
JURERLe Dieu que j'ai juré connaît tout, entend tout
LANGUIRNe me fais plus languir, dis promptement
LIEUJ'ai le coeur trop bon pour lui prêter l'oreille. - Dites le coeur trop bas pour aimer en bon lieu
LUIREJe vous crois, mais souvent l'amour brûle sans luire ; Dans un profond secret il aime à se conduire
MACULEJe saurai conserver d'une âme résolue à l'Époux sans macule une épouse impollue
MAGIECette noire magie ordinaire aux chrétiens L'arrête indignement dans vos honteux liens
MAÎTREC'est le Dieu des chrétiens, c'est le maître des rois
MALADEFlavie, au lit malade, en meurt de jalousie
MALADEFais quelque chose enfin pour mon esprit malade
MÂLEIl [Valens] oppose, non plus une molle prudence, Mais un courage mâle
MAUVAIS, AISEOn ne m'éblouit point d'une mauvaise ruse
MENACELa menace à grand bruit ne porte aucune atteinte
MÉPRISJe n'ignore non plus que votre âme plus saine.... Rejette les conseils, en dédaigne le prix, Et fait de ces grandeurs un généreux mépris
MODESTEVotre humeur modeste aime l'abaissement
MOMENTUn moment est bien long à qui ne sait pas feindre
MORTEL, ELLEUn si mortel affront
MOU, MOLLEQu'à tant de violence Il oppose, non plus une molle prudence, Mais un courage mâle
MOU, MOLLEQui s'apprête à mourir, qui court à ses supplices, N'abaisse pas son âme à ces molles délices
MOURANT, ANTEQu'elle fuie avec lui ; c'est tout ce que veut d'elle Le souvenir mourant d'une flamme si belle
MOURIRJe vois.... Que la vertu du fils soutient celle du père, Qu'elle ranime en lui la raison qui mourait
NU, NUEVoilà, pour vous montrer mon âme toute nue, Ce qui m'a fait bannir Didyme de ma vue
OBLIGERVous m'obligerez fort d'en prendre le souci
OBLIGERSortez d'inquiétude, et m'obligez de croire Que la gloire où j'aspire est tout une autre gloire
OBSTINERJe ne recherche plus la damnable origine De cette aveugle amour où Placide s'obstine
OPINIÂTREMais il hait des chrétiens l'opiniâtre zèle
ORIl leur jette de l'or ensuite à pleines mains
ORDREInstruis-moi seulement de l'ordre de tes crimes
L'objet où vont mes voeux serait digne d'un dieu
OUVRAGEL'ouvrage de mes mains avoir tant d'insolence !
PÂLIRMais gardez de pâlir et de vous étonner à l'aspect du chemin qui vous y doit mener
PARDONNABLEAh ! tout est pardonnable aux douleurs d'un amant
PARTL'amant si fortement s'unit à ce qu'il aime, Qu'il en fait dans son coeur une part de lui-même
PARTIELa Syrie à vos lois est-elle assujettie, Pour souffrir qu'une femme y soit juge et partie ?
PAYERTous les ingrats en foule iront à votre école, Puisqu'on y devient quitte en payant de parole
PERDU, UEEt j'ai pitié de voir tant de bonté perdue
PLAISIRC'est un plaisir bien doux que de se voir vengée
PLEIN, EINEMarcelle les contemple à ses pieds expirants... Et tantôt se repaît de leurs derniers soupirs, Tantôt goûte à pleins yeux ses mortels déplaisirs
PORTEPlacide : De mon rang [de gouverneur] en tous lieux je soutiendrai l'honneur. - Marcelle : Considérez donc mieux quelle main vous y porte ; L'hymen seul de Flavie en est pour vous la porte
POUVOIREt vous l'allez servir de tout votre pouvoir ?
PRESIDERVoyez ce qu'est Valens, voyez ce qu'est Placide ; Voyez sur quels États l'un et l'autre préside
PROCHE.... Proche qu'elle est de choir dans l'infamie
PROSTITUERDis-lui qu'à tout le peuple on va l'abandonner ; Tranche le mot enfin, que je la prostitue
PROSTITUTIONVous leur immolez donc l'honneur de Théodore, à ces dieux dont enfin la plus sainte action N'est qu'inceste, adultère et prostitution ?
PUDEURMais la pudeur peut tout sur l'esprit d'une fille
PUISSANCEMarcelle, qui vous sert de toute sa puissance
PUR, UREMais par un pur effet de générosité....
PURETÉRendez à votre honneur toute sa pureté
PURETÉDieu de la pureté, que vos lois sont bien autres !
RAILLERIEEt l'amertume enfin de cette raillerie....
RAISONNABLELe mien [coeur] est raisonnable autant que généreux
RAVALÉ, ÉEDans mon sort ravalé je sais vivre en princesse
RAVALERLe caractère de Valens ressemble trop à celui de Félix dans Polyeucte, et a même quelque chose de plus bas, en ce qu'il se ravale à craindre sa femme
RENCONTRER....Vous m'en conjurez par un nom trop puissant Pour ne rencontrer pas un coeur obéissant
RENCONTRERQuel prodige pareil s'est jamais rencontré ?
RENDRES'il se rendait d'une humeur trop sévère
RENFERMERNe me répliquez plus et me la renfermez
REPOSERPortons-le reposer dans la chambre prochaine
RÉSOLU, UEJe saurai conserver d'une âme résolue...
RESSEMBLERLe caractère de Valens ressemble trop à celui de Félix dans Polyeucte, et a même quelque chose de plus bas
RETIREROn retire souvent le bras pour mieux frapper
RÊVERIEEst-ce une illusion, est-ce une rêverie ?
RIENSeigneur, réglez si bien ce violent courroux, Qu'il n'en échappe rien trop indigne de vous
SACRIFICEEt je n'ai pas moins qu'elle à rougir d'un supplice Qui profane l'autel où j'ai fait sacrifice
SAINT, AINTEPar la sainte horreur que vous fait l'infamie, Par ce Dieu que j'ignore, et pour qui vous vivez
SAINTETÉMais, pour vous dire tout, la sainteté des lieux.... Le rendant [un serment] et plus saint et plus inviolable
SAUVERJe vous le dis encor, sauvez-moi cette honte
SECOURSJ'assurerai tes jours, Et mourrai, s'il le faut, moi-même à ton secours
SENSL'effet expliquera le sens de la menace
SORTI, IEQuand de sa folle erreur vous l'auriez diverti, En vain de ce péril vous le croiriez sorti
SOÛLER....Son oeil semble encore à longs traits se soûler Du sang des malheureux qu'elle vient d'immoler
SOUMETTREValens : L'impérieuse humeur ! vois comme elle me brave, Comme son fier orgueil m'ose traiter d'esclave ! - Paulin : Seigneur, j'en suis confus, et vous le méritez ; Au lieu d'y résister, vous vous y soumettez
SOUTENIRArrête, de faiblesse à peine il se soutient
SUIVI, IEJe veux bien ne m'en prendre qu'à ses défauts et la croire mal faite, puisqu'elle a été mal suivie
SUSCITERVa, dangereux ami que l'enfer me suscite, Ton damnable artifice en vain me sollicite
TARIRMes soins avec le temps pourront tarir ses larmes
TÉMÉRITÉRedoublez vos mépris, mais bannissez des craintes Qui portent à mon coeur de plus rudes atteintes ; Ils sont encor plus doux que les indignités Qu'imputent vos frayeurs à mes témérités
TENIRC'est le Dieu des chrétiens, c'est le maître des rois, C'est lui qui tient ma foi, c'est lui dont j'ai fait choix
TOURNERCléobule survient avec quelques amis, Met l'épée à la main, tourne en fuite le reste
TRAÎNANT, ANTEÀ le bien examiner, s'il y a quelques caractères vigoureux et animés, comme ceux de Placide et Marcelle, il y en a de traînants qui ne peuvent avoir grand charme, ni grand feu sur le théâtre
TRAÎNANT, ANTEQue ne peut ma haine avec un plein loisir Animer les bourreaux qu'elle saurait choisir, Repaître mes douleurs d'une mort dure et lente, Vous la rendre à la fois et cruelle et traînante !
TRAÎNEROse-t-elle traîner Théodore à la mort ?
TRAITERNe vous offensez pas, objet rare et charmant, Si ma haine avec lui traite un peu rudement
TREMBLANT, ANTEElle, à cette prière, encor demi-tremblante
TRÉPASÀ ce prix j'aimerai les plus cruels trépas
UN, UNELes funestes désespoirs de Marcelle et de Flavie, bien que l'une ni l'autre ne fasse pitié....

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